Alors que je contemple, impuissant

la maison s’embraser, un profond sentiment d’emprisonnement m’envahit, comme si le destin avait refermé ses portes sur nous. Aucune issue ne semble possible. La vieille maison en bois, trop fragile, ne fait qu’alimenter les flammes dévorantes. Mon père, le roi Duna, reste enfermé à l’intérieur, tandis que le dragon continue de cracher son feu destructeur, illuminant le ciel de sa fureur. Puis il s’élève dans les airs, tournoyant au-dessus de la sortie du village, comme s’il montait la garde.

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